Les Chevaliers d'Émeraude
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Les Chevaliers d'Émeraude

Les Chevaliers d'Émeraude, troisième génération
 
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 Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)

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Lenwë

Lenwë


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Date d'inscription : 11/10/2020

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MessageSujet: Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)   Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof  (ouvert à tous) Icon_minitimeVen 8 Avr - 20:49

Du haut de mon arbre, j'avais tout vu. Mais j'étais terrifié des humains. J'avais tout vu, j'avais tout entendu. Parce qu'au lieu d'aller cueillir des vivres, j'avais préféré suivre Aloïs du haut des arbres. Pourquoi? Aucune idée, mais je n'avais même pas pu défendre mon hybride contre ces horribles gens de l'Ordre d'Émeraude. Je me rappelais de l'énergie si sombre provenant d'un des chevaliers, les autres ne semblaient pas s'en rendre compte. 


J'avais tout vu, la peur de mon amour en voyant l'homme à l'énergie sombre. Je l'avais vu être en colère en entendant le nom «Isaak». Ce n'était pas son nom, il s'appelait Aloïs. Mon Aloïs. J'avais une femme brune tenter de marchander avec lui, je sentais toute la douceur et l'amour qu'elle avait pour mon amant. J'avais vu mon amant prendre son arc et l'armer. Il pointa sa flèche vers la poitrine de celui qui semblait être le chef, celui qui lui avait donné un faux nom. Mais la femme se plaça dans la trajectoire de la flèche, les mains en l'air. 


- Pourquoi tu le protèges? pleura Aloïs. 


Ce fut le moment choisi par les soldats pour immobiliser la personne que j'aimais. Je serrai les dents, pour retenir un cri de douleur, je fermai les yeux pour ne pas voir mon amour souffrir. Parmi toutes les émotions plutôt négatives, une n'avait pas sa place, mais je la sentais. Quelqu'un était heureux. Tellement heureux et amusé par toute cette souffrance et la trahison d'une mère envers son enfant. Je fus pris d'une nausée si forte que je faillis perdre l'équilibre. 


Je rouvris les yeux, en sentant l'énergie de mon aimé s'éloigner de moi. Je sautai d'arbre en arbre, jusqu'à un énorme château. Je me tapis dans l'ombre d'un chêne, tout en suivant magiquement son énergie. Ses cris de rage se faisaient entendre. Je me camouflai physiquement et magiquement, en espérant qu'on ne me voit pas. Je laissai mes larmes couler, en attendant la nuit. 


Lorsque la lune prit la place du soleil, je me lançai. En suivant l'énergie de mon amant, je grimpai le mur, en prenant soin de ne pas me faire voir. Je traversai la cour, discrètement, avant d'arriver devant l'une des plus hautes tours. Je soupirai, en me lançant dans les escaliers, jusqu'au dernier étage. J'ouvris magiquement la porte, pour voir Aloïs au milieu d'un cercle de cristal. Il cachait son visage dans ses genoux. Je me lançai vers lui, mes mains tendues vers le champ de force. Mais au lieu de me laisser passer, une énorme décharge passa au travers de mon corps, alors que je poussais un cri. 


- A... Aloïs, soufflai-je. 


Je me redressai tant bien que mal sur mes genoux, mon regard plongé dans le sien. Je me dirigeai vers les cristaux, en posant une main sur la pierre, une forte brûlure apparue contre ma paume. Je gémis de panique. 


- Je vais te sortir d'ici, promis-je. Je ... Je t'aime...
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Aloïs

Aloïs


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MessageSujet: Re: Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)   Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof  (ouvert à tous) Icon_minitimeSam 23 Avr - 11:23

J'étais piégé. Je me doutais bien que Lenwë n'était pas loin, il avait ressenti ma détresse, c'était certain. J'avais peur intérieurement qu'il décide de se montrer. L'Empereur se plairait à n'en faire qu'une bouchée. Et je ne supporterais pas de le perdre. Sans même que je m'en rende compte, l'elfe était devenu absolument tout pour moi. Mais je ne voulais pas que les autres le sachent, je ne voulais pas qu'ils puissent utiliser cet amour contre moi. 


Rapidement, je fus immobilisé, puis on me transporta sur un cheval, fort probablement en direction du château d'Émeraude. Je me débattais, même si je savais que c'était inutile. Je hurlais, autant des insultes à mon géniteur qu'à ma mère. Je ne dérangeais personne à vivre ainsi dans la forêt, pourquoi ne m'avait-on pas simplement laissé en paix?


Arrivé au château, je fus rapidement amené dans une tour, au milieu de petites boules de cristal. À ce moment, je perdis la connexion que j'avais avec Lenwë. Je ne contrôlais pas ma magie, mais je la ressentais. Et ça me faisait mal, de ne plus ressentir l'homme que j'aimais. Durant les premières heures qui suivirent, je tentai de m'échapper, mais il n'y avait rien à faire: je me brûlais  à chaque tentative. Heureusement, mon corps me guérissait rapidement. J'abandonnai, me recroquevillant sur moi-même, enfouissant mon visage contre mes genoux. 


Je redressai la tête lorsque j'entendis la voix de Lenwë pousser un cri. 


- A... Aloïs, murmura mon aimé. 


Mon coeur se gonfla d'amour à sa vue, mais ma tête me disait autrement. Il ne pouvait pas être ici. Il devait s'en aller, où ils allaient le capturer aussi pour avoir tenté de m'aider. Son regard se glissa alors dans le mien, tandis qu'il se redressait du choc. Je n'eus pas le temps de le prévenir, qu'il posa sa main contre les cristaux qui formaient ma prison et sa main se brûla. 


- Je vais te sortir d'ici, souffla Lenwë. Je... Je t'aime...


Mes yeux se remplirent de larmes à ses paroles. Je me redressai à mon tour sur mes genoux, m'approchant le plus possible de l'homme que j'aimais. Il était si près, mais pourtant tellement inaccessible. Je me perdis dans son regard, complètement obnubilé par sa personne. 


- Y'a rien que tu peux faire pour moi... râlais-je, la gorge serrée. J'ai tué des gens, Lenwë. Ils sont là pour me le faire payer. 


J'avalai de travers en disant cela, car je les avais très bien entendus parler. Ils avaient mentionné mon exécution. Ma mère s'était battue contre Nathan, en disant que ce n'était pas l'entente qu'ils avaient, mais elle avait été rapidement maîtrisée. Mais je vis dans le regard de mon amoureux qu'il n'allait pas abandonner aussi facilement. 


- Trouve Jessamine, soufflais-je, d'un ton à peine audible. C'est la seule à qui tu peux faire confiance. Il y a deux personnes dans ce château qui possèdent une partie de mon énergie. Trouve celle qui te mènera à ma mère. 


Je fis un doux sourire à mon elfe adoré, avant de relever ma main pour caresser sa joue. Je rencontrai la paroi invisible, me brûlant, et je vis avec horreur les pierres refermer leur cercle un peu plus sur moi. 
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Kristof
Empereur d'Irianeth
Kristof


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MessageSujet: Re: Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)   Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof  (ouvert à tous) Icon_minitimeSam 23 Avr - 11:53

Je n'avais rien fait, j'avais tout observé avec un sourire. Je voyais qu'Aloïs voyait clair derrière ma nouvelle apparence. Mais personne ne savait qui j'étais. Pour Nathan d'Osantalt, je n'étais qu'un étranger qui souhaitait joindre l'Ordre et qui possédait des capacités magiques. Pour Jessamine, j'étais celui qui était devenu ami avec le père de son fils, mais j'en savais tellement plus qu'elle. J'avais tout de suite senti une présence dans les arbres, j'avais senti le coeur de mon ancien esclave se débattre de panique. 


Donc mon petit Aloïs était amoureux. J'allais donc jouer avec cela, ça ne me donnait rien sauf le plaisir intense et jouissif de le briser encore plus. Alors que nous transportions Aloïs vers Émeraude, je me dirigeai vers Nathan, avant de me pencher vers lui. Avant de lui énumérer tous les crimes que j'avais commis, mais en pointant Aloïs du doigt comme étant le responsable. En mentionnant qu'il était littéralement un des plus grands généraux de l'Empereur. Qu'il ne pouvait pas vivre. Nathan avait acquiescé. 


Puis le petit procès de fortune où on condamna Aloïs à mort, ce qui brisa le coeur de sa mère. Ce dernière s'était lancée sur Nathan pour l'abattre, mais elle avait été facile à retenir. C'en était drôle. Son désespoir était jouissif. On finit par enfermer mon petit esclave dans une prison magique, une de mes charmantes créations. Je me postai à la porte de la cellule, je savais que la présence nous avait suivi jusqu'ici et qu'elle se montrerait dans la cellule et en plus je n'aurais pas à ouvrir la porte pour voir, mes sens magiques balayaient discrètement la cellule. 


Il se montra, c'était un charmant petit elfe d'Osantalt, tout doux et tout blond. Je les entendis discuter et pleurer de ne pas pouvoir être ensemble. J'entendis les instructions d'Aloïs et je sus que l'elfe obéirait. Je me téléportai dans ma chambre de la Tour des Chevaliers, avant de me poster devant ma glace, lentement mes traits se brouillèrent et le bel elfe qui avait tout l'amour d'Aloïs apparut à ma place. Je fouillai dans une des sacoches que j'avais à mon arrivé, avant d'en sortir un bracelet d'orfèvrerie elfique. Je souris à mon reflet, un sourire cruel. J'avais envie de m'amuser alors que tout l'Ordre dormait. 


Je me téléportai devant la porte de la cellule, avant de l'ouvrir à la volée. 


- Aloïs, murmurai-je. 


Son regard changea en me voyant, en voyant son aimé. Je me lançai vers le cercle qui avait rapetissé, il avait trop essayé d'en sortir. Je vis ses yeux s'arrondir de peur, alors que je passais dans le cercle. Je pris son visage entre mes mains, avant de lui montrer mon bracelet. Sans attendre de question, je posai mes lèvres contre les siennes, afin de le berner encore plus. 


- Je ne pouvais pas te laisser seul, je n'ai pas trouvé Jessamine, mais j'ai trouvé ceci, murmurai-je. 


Je repris mes baisers contre ses lèvres, sentant ses défenses tomber doucement. Mes mains glissèrent contre son torse, avant de défaire les lacets de sa tunique. Mes lèvres courant contre sa mâchoire inférieure. Ma bouche remonta vers son oreille. 


- Cette nuit, laisse-moi être avec toi, chuchotai-je. Je ne peux pas passer une minute loin de toi... Je t'aime tant... 
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Aloïs

Aloïs


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MessageSujet: Re: Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)   Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof  (ouvert à tous) Icon_minitimeMar 2 Jan - 18:55

Le temps était terriblement long dans cette petite cellule. Personne ne venait me voir, personne ne me nourrissait. J'avais l'impression qu'on voulait me faire souffrir avant de me mettre à mort. Je savais que ma mère ferait tout en son pouvoir pour me sauver, mais je savais aussi qu'il était peu probable qu'elle y arrive. Je n'avais pas peur de mourir, mais j'avais peur d'être séparé de Lenwë. Et surtout, j'avais peur qu'il assiste à mon exécution. Il n'avait pas besoin de voir cela. 

La lune était maintenant bien haute dans le ciel, et c'est ce moment que Lenwë choisit pour revenir vers moi. La porte s'ouvrit sur lui; aussitôt, mon coeur fit un énorme bond dans ma poitrine. 

- Aloïs, murmura-t-il. 

Je fis un petit sourire. S'il cette nuit était ma dernière, j'étais heureux de pouvoir la passer avec mon aimé, même si c'était avec la distance de ma cellule. À mon plus grand étonnement, Lenwë passa à travers les rochers, sans même se brûler.  Ses mains se saisirent de mon visage, et il me montra le bracelet qu'il portait. Sans doute était-il magique. Ses lèvres se posèrent contre les miennes, en un baiser moins doux qu'à l'habitude. Mais habituellement, la mort n'était pas sur le point de nous séparer. 

- Je ne pouvais pas te laisser seul, murmura-t-il. Je n'ai pas trouvé Jessamine, mais j'ai trouvé ceci. 

L'important était qu'il était là. Et encore mieux, ses lèvres caressaient les miennes, mon coeur faisait des bonds immenses dans ma poitrine. Je ne pensais pas sentir ses mains contre mon corps une dernière fois. Lentement, Lenwë défit les lacets de ma tunique et laissa ses baisers glisser contre ma mâchoire, le creux de mon cou, vers mon oreille.

- Cette nuit, laisse-moi être avec toi, chuchota mon aimé. Je ne peux pas passer une minute loin de toi... Je t'aime tant...

Je me sentis hocher la tête de haut en bas. Pas plus tard que ce matin, j'avais peur qu'il me touche, et sans doute que j'aurais pris mon temps encore avant de coucher avec lui, car je ne voulais pas associer son amour aux horreurs subies sur Irianeth, mais avec mon exécution imminente, j'allais me laisser aller. Je n'avais pas le choix. Sinon je ne pourrai pas goûter à la chair de Lenwë, et pire encore, il ne pourrait pas goûter à la mienne. Je voulais quitter ce monde, et qu'il sache tout l'amour que je ressentais pour lui. Je répondis donc à ses baisers, les miens étant beaucoup plus langoureux. Je grimpai alors contre ses cuisses, et je fus surpris de sentir son membre tendu. C'était la première fois que je le sentais. Je sentis mon souffle devenir court et la peur tirailler mon ventre. Mais mon amoureux ne me laissa pas le temps. Il retira rapidement ma tunique et la sienne, et sa main se glissa dans mon pantalon. J'étais tellement surpris par sa nouvelle détermination que je ne sus comment réagir. J'aurais bien aimé être connecté à ses émotions que je l'étais toujours, mais probablement que cette prison de cristal m'en empêchait... 

- Hey... murmurais-je en posant ma main contre la sienne. On a toute la nuit, on est pas pressés. 

Je lui fis un doux sourire, avant de glisser une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Je posai mes lèvres contre les siennes, son membre dur ayant raison du mien. Ils entamèrent une danse au rythme de nos bassins, uniquement retenus par nos pantalons de toile. J'étais tellement bien en ce moment, mais j'avais aussi peur. Je tentais de ne pas penser à mes mauvais moments passés sur Enkidiev. C'était comme si le fait d'avoir laissé Lenwë accéder à mes pensées m'avait enlevé un poids sur les épaules. Faire l'amour avec Lenwë ne me faisait plus peur, ou presque. 

- Je t'aime, Lenwë, soufflais-je entre deux baisers. 

Mes mains exploraient chaque parcelle de son corps, et s'arrêtèrent finalement sur son membre, que je caressai langoureusement à travers son pantalon.
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Kristof
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MessageSujet: Re: Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)   Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof  (ouvert à tous) Icon_minitimeMer 3 Jan - 14:03

Dire à Aloïs que je l'aimais me leva le coeur. Je ne l'aimais pas, je ne l'aimerais jamais. Aloïs me servait et il allait continuer de me servir même dans la mort. Le fait qu'il souffre ne me faisait rien, en fait, cela me faisait jouir intérieurement. Je gardai l'expression désespéré sur mon nouveau visage, n'affichant qu'un petit sourire triste en voyant mon esclave hocher doucement la tête. J'avais plus que hâte de mettre mes mains sur lui, de lui montrer à quel point il m'avait déçu. 


Ses baisers contre ma bouche devinrent de plus en plus fiévreux, mon sexe durcit lorsqu'Aloïs grimpa sur mes cuisses. Je pouvais sentir mon membre effleurer son intimité au travers de nos pantalons. Sans attendre, je lui arrachai presque sa tunique, avant de retirer la mienne. Ma main s'enfonça directement dans son pantalon afin d'agripper son sexe. 


- Hey... souffla-t-il. On a toute la nuit. On est pas pressé. 


Sa main s'était posée contre la mienne, l'autre glissa une mèche blonde derrière mon oreille pointue. Son sourire m'écoeura, je pus camoufler cela dans son baiser qu'il posa sur ma bouche. Je sentis son bassin s'activer contre le mien. Je me sentais perdre patience, mon érection me faisait mal au travers de ce foutu pantalon de l'Ordre. Si il ne descendait pas mon pantalon et ne s'affairait pas à me donner une de ses délicieuses fellations, je serais obligé de le prendre à sec. 


- Je t'aime, Lenwë, murmura Aloïs. 


Je camouflai mon soupir dans un gémissement. Ses mains se mirent à caresser mon corps, avant de finir contre mon membre. Sa main glissa sur toute ma longueur au travers de mon pantalon, m'arrachant un grognement d'impatience. Mes mains agrippèrent son visage, afin que je puisse l'embrasser avec fougue, une de mes mains laissa sa joue et arracha le lacet de son pantalon. Ma main empoigna solidement son membre que je commençai à caresser avec hâte. 


Je poussai un soupir de satisfaction en voyant son sexe se tendre sous ma main. Ses yeux arrondis, son elfe devait être bien plus réservé que moi. Je n'avais pas le temps pour tout ce sentimentalisme. Je voulais prendre mon pied, lui donner un maximum de souffrance, avant de l'abandonner à sa mort. Ma langue s'enfonça dans sa bouche, l'empêchant de parler, mes baisers devenant de plus en plus agressifs. Ma main serra son emprise contre la verge sensible d'Aloïs, mon mouvement de va et vien de plus en plus violent. 


- Laisse-toi aller, grondai-je entre mes dents. 


Je me redressai sur mes pieds, avant de défaire mon pantalon. Je relevai son visage à la hauteur de mon membre, que je pris ma main et le guidai vers ses lèvres. J'adoucis mon regard, mon pouce glissa contre sa joue. 


- Je t'en prie...  
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MessageSujet: Re: Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof (ouvert à tous)   Torture- Aloïs, Lenwë et Kristof  (ouvert à tous) Icon_minitime

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