Lenwë- Elfe d'Osantalt

Lenwë d'Osantalt

Comme tous les elfes de ma patrie, je suis grand, mince et blond. Du haut de mes 5p11, je suis petit pour un elfe, je garde une certaine forme physique, je tiens à me garder en forme, lorsque je dois déplacer des gens de lit en lit ou pour une certaine procédure. Je garde aussi mes cheveux blonds pâles, assez courts, afin que ces derniers ne contamine pas les plaies. Mes yeux sont bleus ciels, devenant plus sombres lorsque je suis contrarié. Mes oreilles pointues dépassent de mes cheveux, c'est le seul signe de mon ascendance.

Je porte des vêtements pâles, préférant des tuniques et pantalons aux longues tuniques des autres guérisseurs. Je passe le plus clair de mon temps pieds nus, même lors des mois plus froids.

Je diffère un peu des gens de mon peuple. Je suis un peu plus en contact avec mes émotions, me laissant guider par ces dernières. Je déteste la mort, je fais donc tout en mon possible pour l'empêcher de prendre mes confrères. Je suis un ami loyal, mais aussi un amant passionné. Je suis follement amoureux d'un ami d'enfance, Elros. Doux, sensible et timide, il complète tout ce que je suis. Je fais toujours tout en mon possible pour rendre service à mon peuple, allant jusqu'à utiliser mon don pour protéger Osantalt. Ce don? Je suis capable de pousser les gens à révéler leur plus grand secret, mais aussi leurs arrière-pensées. Je suis le genre de personne qui pourrait me sacrifier pour les gens de ma patrie, sans même me poser de question. J'ai une certaine curiosité pour les humains, mais je reste terrifié à l'idée qu'ils puissent envahir mon île chérie.

Je suis né sur l'île la plus parfaite de ce monde, Osantalt. Mes deux parents étaient des elfes froids, mais qui tenaient à ce que leur fils unique soit utile à leur collectivité. J'appris auprès d'eux le don de soi et le sacrifice. Rapidement, on appris que j'étais magique, au lieu de me donner aux mages ou aux enchanteresses, on me donna aux guérisseurs, à cause de ma grande sensibilité. J'appris auprès d'eux à faire tout en mon possible pour ne pas laisser la mort emporter les gens de notre peuple. Je grandis en beauté et en sagesse, en posant toutes les questions sur les humains, que je pouvais imaginer. Un seul de mes semblables accepta de répondre à mes questions, Elros. À son contact, je découvris quelque chose, l'amour. Je tombai lentement amoureux de lui, lui aussi. Cela finit dans ses draps, mais lorsque je voulus lui demander le l'épouser, je fus repoussé, mon amant ne croyait pas en l'amour.

Aujourd'hui, j'ai vente qu'il vivait avec un humain sur Enkidiev. Je m'en vais donc le chercher, afin de le raisonner et le ramener chez nous.