Messages : 1 Date d'inscription : 01/07/2017 Age : 29
Sujet: Lilyanna, Chevalière volontaire Dim 2 Juil - 7:10
Lilyanna d'Emeraude
Carte d'identité
Prénom : Lilyanna Surnom : indéterminé Race : Humaine Âge : 23 ans Métier/rang : Chevalière d’Emeraude Lieu de naissance : Royaume de Diamant Lieu actuel : Royaume d'Emeraude Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Mon physique
J’ai toujours eu l’impression que la simplicité de mes traits trahissait mon origine paysanne. Il est vrai que contrairement à des consœurs chevalières, point de noble origine pour distinguer telle ou telle de mes caractéristiques, m’illustrant dans une foule par ma beauté. Cependant, pour qui prend le temps de me remarquer, mes traits à la fois angéliques et malicieux constituent un charme indéniable. Brune aux yeux bleus, j’ai un physique doux et apaisant. L’humilité de mes anciennes conditions se retrouve dans mes tenues : lorsque je n’ai pas à porter l’uniforme des Chevaliers, j’aime à porter des tenues paysannes de mon pays d’origine.
Mon caractère et mes pouvoirs
Je suis un livre ouvert : sur mon visage s’impriment toutes mes émotions et ces dernières guident ma vie. Instinctive, je demeure malgré tout quelqu’un de calme. La fougue m’emporte, cependant, lorsque je suis confrontée à la peine ou à l’injustice et peut me rendre impertinente. Très empathique, je m’attache rapidement aux gens et fait de leur combat le mien. Grande optimiste, j’aime rire et taquiner les gens, lorsque la situation me le permet. C’est avec beaucoup de tendresse que je me souviens de mon royaume d’origine et je rêve de m’y établir à la fin de ma vie et de reprendre une vie de paysanne.
En arme offensive, j’ai toujours travaillé avec vigueur la télékinésie afin de pallier à la faiblesse de mes propres muscles. Sans maîtriser la guérison, je dois avouer que je me débrouille.
Mon histoire
Née dans un royaume que je chéris toujours, je n’ai pas manifesté immédiatement de prédispositions magiques. J’ai donc vécu, dans un premier temps, en tant que fille de paysans que l’on envoyait au champs. Le soir, au coin du feu, j’écoutais avec grande attention mon grand-père, féru d’histoire, me conter celle d’Enkidiev, J’en retins donc une grande admiration des premiers ordres et un sens du devoir gravé dans mon esprit : le respect et la protection d’Enkidiev sont primordiaux. Vers mes dix ans, pendant que j’accomplissais mes tâches de cueillette quotidienne, mon père remarqua que je ne cueillais rien de mes propres mains mais que les récoltes se décrochaient délicatement avant d’atterrir, avec autant de délicatesse, au creux de ma main. Lorsqu’il comprit, il me dirigea vers le royaume d’Emeraude où je suivis l’illustre formation.